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Colin Farrell - Page 2

  • S.W.A.T. unité d’élite

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    Il y a encore 6 mois, notre pote Jim Street (Colin Farrell) faisait partie du S.W.A.T. de Los Angeles où il était considéré comme l’un des meilleurs éléments. Hélas pour lui, lors d’une intervention pour un braquage de banque, son équipier Brian Gamble (Jeremy Renner) a désobéi aux ordres de leur supérieur et s’il est parvenu à sauver les otages, une femme a reçu une balle. Tous deux ont ainsi été virés du S.W.A.T. mais restent présent dans les forces de Police sauf que Brian préfère tout plaquer. Retour au présent, Jim a été affecté à la cage mais il va sa voir offrir une seconde chance avec l’arrivée d’Hondo (Samuel L. Jackson). Ce dernier a pour mission de former une équipe du S.W.A.T. et pour cela il va avoir besoin des meilleurs !

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    En France, on a le G.I.G.N. et aux States ils ont le S.W.A.T. une unité de police surentrainée qui intervient dans les moments les plus délicats. Bien qu’il ne date pas d’hier (2003), S.W.A.T. unité d’élite tient encore bien la route et n’a franchement pas à rougir face à certaines productions actuelles. Il faut dire qu’on a pas lésiné sur les moyens avec un impressionnant casting (Colin Farrell, Samuel L. Jackson, Michelle Rodriguez, LL Cool J et même un certain Jeremy Renner) et de très bonnes scènes d’action comme l’atterrissage de cet avion sur le pont. Un reproche à faire néanmoins, Olivier Martinez pas du tout charismatique dans la peau du bad-guy de service. Une suite officieuse est sortie en DVD en 2010, S.W.A.T. Firefight mais très en-deçà de l’original.

  • London boulevard

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    Fraichement sorti de prison, Mitchel (Colin Farrell) est accueilli par Billy (Ben Chaplin) et aussitôt ce dernier lui propose de reprendre ses bonnes vieilles habitudes de gangster. Seulement ces 3 années d’enfermement ont fait prendre conscience à Mitchell ses erreurs passés et il ne tient évidemment pas à retourner derrière les barreaux. Toutefois, il a besoin d’informations après un crime commis sur un de ses potes d’enfance ; il est à la recherche de 2 jeunes qui l’ont violemment agressé et provoqué sa mort. Pour cela il va être présenté à Gant (Ray Winstone), un homme puissant et respecté qui n’a pas peur de se salir les mains.

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    Autant jouer cartes sur table immédiatement, je ne suis pas du tout entré dans l’histoire de London boulevard. C’est d’autant plus dommage que Colin Farrell est irrésistible avec en face de lui un Ray Winstone tout aussi exceptionnel hélas le problème vient cette romance avec la star qu’incarne Kieira Knightley. Une relation qui désamorce tout la tension accumulée et qui nous fait perdre pied dans l’intrigue principale et sans cette parenthèse, le film aurait vraiment un tout autre visage. Pour une première réalisation, William Monahan distille des éléments intéressants notamment dans le dénouement mais cette copie là reste bien insuffisante !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que les paparazzis sont bien grossiers !

  • Les chemins de la liberté

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    1939. L’invasion de la Pologne par l’Allemagne d’Hitler et par l’URSS de Staline déclenche le début de la 2nde Guerre Mondiale. Accusé d’espionnage à l’encontre de Staline, Janusz (Jim Sturgess) a été arrêté et conduit dans un camp de travail en plein cœur de la Sibérie. Dans des conditions de détention déplorables, il sait qu’il ne pourra pas survivre bien longtemps à cet enfer et décide donc avec d’autres prisonniers d’organiser leur évasion. Echapper à leurs geôliers est une chose, survivre dans l’environnement hostile de la Sibérie en est une autre et leur voyage sera long avant d’atteindre le seuil de la liberté.

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    Pas de doute, cette histoire vraie est belle et Les chemins de la liberté se voulait donc être un flamboyant hommage à ces héros. Que ce soit à travers le vent glacial de Sibérie ou au cœur du désert de Gobi, Peter Weir a su trouver la bonne formule pour nous embarquer dans ce long périple. Dommage qu’on ne retrouve pas la même attention en ce qui concerne les personnages traités de manière plutôt superficiel. D’autant plus regrettable quand on compte Ed Harris dans ses rangs, égal à lui-même qui rehausse un peu l’intérêt du film. Pas forcément le chemin à suivre pour une bonne séance de ciné.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à dessiner des femmes nues, ça pourrait vous être utile !

  • Ondine

    Colin Farrell, Tony Curran, Stephen Rea, plus

    Syracuse (Colin Farrell) était en train de remonter ses filets de pêche quand il s’est aperçu qu’il a fait une prise pour le moins inattendue. Une jeune femme s’est en effet retrouvée au milieu des poissons et si au départ il pensait avoir à faire à un cadavre, il a vite compris qu’elle était encore en vie. Alors qu’elle reprend connaissance, le pêcheur souhaite l’emmener à l’hôpital mais celle qui se fait appeler Ondine (Alicja Bachleda-Curus) refuse tout contact avec le monde extérieur. Lorsque Syracuse raconte cette histoire invraisemblable à sa fille Annie (Alison Barry), cette dernière lui révèle qu’Ondine n’est autre qu’une Selkie, une créature légendaire.

    Colin Farrell, Tony Curran, Stephen Rea, plus

    L’histoire se présente comme un conte de fée mais le cadre dans lequel il se déroule nous ramène à une tout autre réalité. Rêve ou réalité ? C’est la question que l’on se pose durant tout le film jusqu’à ce que la conclusion nous ramène les pieds sur terre. Ondine débute donc comme une fable, une femme attrapée dans les filets d’un pêcheur et considérée comme une créature fantastique : la Selkie. C’est la découverte d’un mythe irlandais à travers un film peu chaleureux, les couleurs sont sombres et donc on ne plonge jamais complètement dans ce coté fantasmagorique et puis l’accent irlandais de Farrell finit par nous taper sur les nerfs !

     

    Il faut le voir pour : Continuer à croire aux sirènes.

  • Eyes of war

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    Nous sommes en 1988, Mark & David (Colin Farrell &Jamie Sives) sont deux potes d’enfance qui travaillent ensemble en tant que photographes de guerre. Cela fait déjà un mois qu’ils couvrent le conflit entre le Kurdistan et l’Irak et pour David, l’heure du retour à la maison a sonné. En effet, il n’en peut plus de rester éloigné de sa femme Diane (Kelly Reilly) d’autant plus que celle-ci est enceinte et devrait très bientôt accoucher. Les évènements font que les deux photographes se retrouvent séparés et après avoir échappé de peu à la mort, Mark retourne lui aussi en Angleterre. A son retour il est étonné de ne pas voir David et commence à se poser des questions.

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    Beaucoup de films ont souligné l’impact psychologique que pouvait revêtir une guerre sur les soldats mais on se rend moins compte des dommages collatéraux que cela peut provoquer sur des acteurs plus secondaires. Eyes of war s’intéresse ainsi aux reporters de guerre, spectateurs privilégiés mais néanmoins témoins directs des atrocités qui définissent ces conflits. Thème intéressant mais l’intrigue du film ne tient pas très longtemps, on devine rapidement de quoi sera fait le film et ce qui hante le personnage de Mark. Reconnaissons tout de même au film le mérite de nous faire découvrir le point de vue de ces photographes de l’extrême.

     

    Il faut le voir pour : Se contenter de prendre des photos de la nature.

  • Crazy heart

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    Chanteur de country, Bad Blake (Jeff Bridges) a connu son heure de gloire mais aujourd'hui il n'est plus que l'ombre de lui-même. Pour gagner sa vie, il est obligé de donner des concerts aux 4 coins des Etats-Unis et parfois dans des bouges peu recommandables. Pour fuir cette réalité, il s'abandonne à l'alcool et enquille les cigarettes se retrouvant parfois dans un état lamentable. Lors d'un concert donné à Santa Fe, Nouveau-Mexique, on le met en relation avec Jean Craddock (Maggie Gyllenhaal), une journaliste qui souhaite l'interviewer. Dès le premier contact, Jean & Bad Blake sentent qu'il y a quelque chose entre eux deux mais leur relation ne sera pas de tout repos.

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    On ne peut pas dire que la musique Country connaisse beaucoup d'adeptes de ce coté de l'Atlantique et cela pourrait donc dissuader quelques spectateurs de découvrir Crazy heart. L'histoire presque trop belle d'un musicien au fond du trou et qui va retrouver le chemin de la gloire ; un scénario qu'on a malheureusement trop l'habitude de voir. C'est le seul défaut qu'on pourrait reprocher car pour le reste Jeff Bridges incarne à la perfection ce chanteur déchu et ce n'est pas pour rien qu'il a obtenu l'Oscar du meilleur acteur ! Ceux qui avaient apprécié l'excellent Walk the line devraient s'y retrouver.

     

    Il faut le voir pour : Freiner sur la consommation de whisky !

     

  • L'imaginarium du Docteur Parnassus

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    Pour le Docteur Parnassus (Christopher Plummer) et sa troupe itinérante, le succès n'est pas vraiment au rendez-vous. Leur spectacle provoque plus moqueries que fascination et pourtant il y a un miroir magique qui permet à celui qui y pénètre d'entrer de plain-pied dans un merveilleux monde imaginaire. Au cours de leur route, ils viennent en aide à Tony (Heath Ledger) qu'ils ont trouvé sous un pont la corde au cou. Par miracle, celui-ci est sauvé mais semble avoir perdu la mémoire jusqu'à en oublier son propre nom. Alors que Tony est recueilli par la troupe, le Docteur Parnassus lui se montre inquiet car sa fille Valentina (Lily Cole) fêtera prochainement ses 16 ans rappelant une vieille promesse.

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    Aller voir un film de Terry Gilliam ; c'est vivre une expérience unique au cinéma, presque indescriptible et il faut avoir l'esprit bien ouvert pour se plonger dans L'imaginarium du Docteur Parnassus. Le spectateur est invité à se plonger dans l'imagination fertile des personnages qui nous conduisent au sein de mondes hauts en couleurs. Dommage que le film tarde autant à nous révéler sa folie rendant la première partie assez monotone. On retiendra donc essentiellement de ce film la dernière apparition à l'écran d'Heath Ledger décédé durant le tournage. Par un simple détour scénaristique, il est ainsi remplacé au pied levé par rien moins que Johnny Depp, Jude Law & Colin Farrell.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais parier avec le diable, il vous fera vivre l'enfer !

  • Bons baisers de Bruges

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    Ray & Ken (Colin Farrell & Brendan Gleeson) sont 2 tueurs à gages en pleine fuite. Leur boss Harry (Ralph Fiennes) les a envoyé se planquer à Bruges en Belgique où ils vont devoir se faire discret. Pas évident pour notre pote Ray qui ne tient pas en place ; il lui est insupportable de jouer les touristes surtout dans une ville aussi moyenâgeuse comme Bruges. En réalité cette nervosité, il la doit à la dernière mission qu’il a mené où un évènement a bouleversé sa vie. Entre 2 bières, il tombe sur le tournage d’un film où il croise la belle Chloé (Clémence Poésy) qui va lui faire oublier ses soucis.

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    Il n’y a pas que des moules-frites en Belgique ; il y a également Bruges et son incroyable patrimoine culturel, un cadre à priori peu propice pour ce polar d’un genre bien particulier. C’est ce paradoxe qui nourrit d’ailleurs l’intérêt de ce Bons baisers de Bruges et hormis cette spécificité, il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent. On accroche ou pas à l’atmosphère décalé d’un film peu animé où les états d’âme de Colin Farrell finissent vraiment par nous tuer. Mieux vaut encore s’abstenir de voir ce film et économiser pour s’offrir un week-end à Bruges, ce sera certainement plus intéressant pour vous !

     

    Il faut le voir pour : Se planquer à Bruges où personne ne viendra vous chercher !

  • Le rêve de Cassandre

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    Le rêve de cassandre ! Voilà le nom que Ian & Terry (Ewan McGregor & Colin Farrell) ont donné au bateau qu’ils viennent d’acheter. Ils sont frères et se sont débrouillés pour réunir l’argent grâce notamment à Terry, mécanicien qui a pour péché mignon les jeux de hasard. Ian quant à lui se destinent au monde des affaires mais pour le moment, il doit seconder son père au sein du restaurant familial ce qui ne semble pas le ravir. Tout irait bien si Terry n’avait pas cédé à son vice, il a emprunté 90 000 £ qu’il a aussitôt au Poker. Les 2 frères sont sur la paille et doivent demander de l’argent auprès de leur oncle Howard (Tom Wilkinson) mais ils devront en échange lui rendre un service : assassiner quelqu’un !

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    C’est une première dans ma vie de spectateur puisque je ne suis jamais allé voir un film de Woody Allen en salles obscures ! J’avais bien apprécié son dernier film, Scoop et donc je me suis laissé tenter par Le rêve de Cassandre avec en vedettes Ewan McGregor & Colin Farrell. On se laisse vite entrainer par l’histoire et les galères successives de ces 2 frères avec une pointe d’humour pas désagréable.  Dommage cependant que le film prenne un sérieux coup de frein avec une dernière demi-heure qui traine en longueur et qui plombe un peu le tout.

     

    Il faut le voir pour : Préférer le Strip-poker aux mises d’argent !